David Hallyday revient avec son groupe, Mission Control.

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David Hallyday, la passion du groupe

Vivant, droit devant. Telle pourrait être la devise de David Hallyday depuis qu’il a décidé de faire de la musique. Mais on ne saurait le résumer à ça, car affronter des challenges, aller plus loin, tenter de se dépasser, il l’a toujours fait, sur scène comme dans la vie. Ce nouveau projet musical, Mission Control, est à la fois un nouveau pari et le retour à quelque chose que David connaît bien : jouer dans un groupe.  » Jouer sur scène avec ses copains, c’est un truc enfantin, et ça me plaît, moi qui suis resté un grand enfant!« . Retrouver le plaisir des débuts, reformer un groupe pour partir à nouveau sur les routes, l’idée a germé pendant que l’artiste préparait son nouvel album.

C’est avec un opus tout en anglais que revient David, un projet international que lui, l’artiste solo, a cette fois envie de partager avec des complices. Un désir encore accentué par les retrouvailles impromptues avec un lieu chargé d’histoire et de souvenirs : le manoir de Loconville, une maison de famille vendue il y a quelques années et dans laquelle David a connu ses premiers émois musicaux et cogné sur sa première batterie. « C’est un endroit sacré pour moi, une maison pleine de bonnes vibrations dans laquelle, tout gamin, je croisais Hendrix ou Dylan, venus pour une garden-party. Quand je l’ai revue, j’ai eu un flash : c’est là qu’il me fallait enregistrer le nouvel album !« .

Si le lieu est tout trouvé, reste à constituer un groupe. Dénicher des musiciens avec qui partager les mêmes émotions, humaines et artistiques. C’est chose faite, avec le guitariste Olivier Freche, fondateur du groupe JADE et auteur d’un album adapté de « Hypérion », le best-seller de l’écrivain Dan Simmons. A la basse, son frère de gammes Fabrice Ach, surnommé « Le maître de l’harmonie », qui a travaillé entre autres avec Anggun, Mickael Miro et la célèbre blueswoman Anna Popovic. Enfin, à la batterie nous retrouvons Alexis Adefi.  Outre les compositions, le chant et 50% de la batterie, David se chargera de l’électronique et des claviers. Quant au nom du groupe, Mission Control, il va presque de soi:  » La pièce principale dans laquelle on a enregistré servait de salle de télé quand j’étais petit : c’est là que j’ai vu le premier homme marcher sur la lune…« . 

Mission Control et Alive

Mission accomplie… en huit semaines de travail acharné et convivial, dans la plus grande liberté artistique. Le résultat, un disque d’électro-pop spatial, épique et mélodique, à l’image de « The Rising », le premier single, une ode à la liberté, véritable invitation à trouver sa voie.

Un album baptisé « Alive », dont les onze titres convergent tous autour du thème de la passion et de l’élévation. Aller plus loin, comme un leitmotiv que connaît bien David, qu’il soit au volant d’un bolide des 24 heures du Mans ou aux manettes d’un studio d’enregistrement. Vivant.

Tout au long d’une carrière cernée de récompenses, David Hallyday a su imposer une griffe reconnaissable entre mille, de par l’aspect voilé de sa voix. On connaît évidemment la lignée d’artistes dont il est issu, de son arrière-grand-père à ses célèbres parents. On sait enfin que, mieux qu’un prénom, il s’est forgé une véritable réputation.

 

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